Les brasseries

Toutes ses brasseries étaient construit de la même manière. Une grosse bâtisse, entourer de clôture, avec des gardes à l'entrer pour le contrôle du personnel. Outre les bâtisses il avait des entrepots et des camions toujours prêts à partir.

Il y avait une grosse affiche sur le bâtiment principale ou il était inscrit

Gardien 1

"Désolé mais pour les visité guidé c'est pas aujourd'hui. Alors faites comme tout le monde et prenez rendez-vous."

Gardien 2

Il était au téléphone et discutait vivement.

Gardien 1

"Maintenant je vais vous demandez de quitter. Je ne suis pas d'humeur a me répéter."

Le motard de tête dit :

"Aye toé le smat j'ai un message pour ton boss"

Le motar continua en pointa furieusement le garde

"Tu lui dira qu'il est mieu de ficher le camp d'la ville sinon ça va mal allez pour ses p'tites affaires et sa santé"

Les 6 gardes se regardent et éclantent de rire.

Garde 1


" J'ose espérer que tu sais courir vite et que t'as petite moto est capable d'ésquiver une balle. Je ne rate jamais ma cible. Alors je te conseil de ravaler tes paroles avant qu'on te fasse ravaler ta bécane. Jespère que je suis assez clair."

Au même moment trois voitures arrivent a toute allures. Elles arrivent des routes pouvant se rendre à la Brasseries. Les hommes débarquèrent armés. Un homme, habiller de son habituel costume sorti le dernier. Il fit un signe de tête a un des gardes à l'entré.

Garde 2

"Patron, on a des petits comiques ici. Ils croient qu'ils ont droit de venir ici, sur notre territoire et nous menacé. Il parait que tu serais mieux que tu quittes la ville."

Le visage de Giovanni se durcit, les yeux se noircirent.

"Au contraire j'ai même la ferme intention de rester mais non seulement rester mais faire venir quelques amis. Je connais tellement de gens qui aimeraient prendre la place vacante. Maintenant j'espère que vous avez de très bonne raison de croire que vous allez vous en sortire vivant. Croyez vous vraiment que je fais laisser cette acte impuni. Que je vois un seul d'entre vous bouger le simple doigt et je vous fait transfomer en gruyère. Suis-je clair. Alors, qui vous envois et votre réponse est mieux de me satisfaire."

Les motard regardèrent les gardes et Giovanni avec un doute et dis :

"Pour l'instant ce n'est qu'un avertissement, la prochaine fois on vous fera comme on à déja fais au pinguin de votre genre. "

Avant de partir il ajouta :

"En passant notre bosse tu le connais bien et ya pas grand chose que tu peux faire pour l'atteindre compte-tenu qu'il est en prison."

Giovanni tenta de rester le plus calme qui le pu

"Écoute moi bien gros porc. Ici c'est mon territoire. Tu crois pouvoir venir ici, tenter de m'intimider et partir comme si rien ne savait passer. En passant, tout peut arriver en prison....tout le monde à son prix. Maintenant qu'est ce que tu compte faire? Sa m'intrigue vraiment. Compte tenu de la situation je ne crois pas que tu es placer pour négocier. Donc je te conseil à toi et tes chochottes de déposer toute vos armes sur le sol maintenant, de laisser vos belles motos là ou elles sont et tout va se dérouler dans l'ordre. Prenez un taxi si sa vous chantes ou bien marcher je men tape. Je ne crois pas que tu tiens à mourrir tant que sa."

Il fit signe à ses hommes de se tenir prêts.

Une voiture de patrouille passa pres des brasserie et voyan que sa voulais devenir hostile ils se raprocha

"Tout va comme vous voulez messieux?"

Giovanni regarda l'agent avec un grand sourrire

"Mais bien monsieur l'agent. Il venait voir s'il pouvait visiter la place. Comme j'etais dans le coin j'ai vu ces gentils messieurs et je leur ai dit que sa devra un autre jour. Justement il quittait, n'est-ce pas?"

Il dérourna sont attention ver les motards.

Les motards lui jettèrent un regard à tuer et dis :

"Nous aurions dont du nous informez avant de venir pour la visite."

"Nous partont maintenant, désolé pour le rérangement" disa-t-il à moitié étouffé.

Marco les regarda une dernière fois, fit signe aux gardes et à ses hommes que tout était ok et envoya la main avec un grand sourrire au motard. Il embarqua dans sa voiture et reparti.

la voiture de patrouille partie un peu plus loin. les policier jete un regard vers la brasserie jusqu'a ce que les motars parte puis il partie continuer leur patrouille